Des centaines de personnes se sont inscrites à la manifestation dans la ville balnéaire de Saint-Louis au nord-ouest du pays, se conformant à la fatalité du jeune pêcheur sénégalais samedi soir.
Les militants ont pillé les magasins possédés par les Mauritaniens et ont également renversé les voitures, les mettant en feu, avant que les policiers sénégalais ne soient refoulé avec des gaz lacrymogènes pour les distribuer.
Un minimum de 3 policiers ont été blessés lorsque les manifestants ont lancé des projectiles tout en criant des mottes demandant aux pêcheurs du voisinage de se voir offrir des permis de pêche dans les eaux mauritaniennes.
Samedi soir, les garde-côtes mauritaniens ont ouvert le feu sur une embarcation avec 9 pêcheurs sénégalais à bord qui naviguaient dans ses eaux territoriales près de la frontière entre les voisins ouest-africains, conformément à une ressource sécuritaire mauritanienne.
Un jeune homme de 19 ans de Saint-Louis a été congédié et est également décédé plus tard de ses blessures, dont la ressource incluse.
« Nous condamnons avec la meilleure pression ce traitement par les garde-côtes mauritaniens »,
a déclaré le prédicateur sénégalais Oumar Gueye sur le terminal radio exclusif de RFM lundi.
Les deux nations n’ont pas d’accord de pêche,
« mais cela ne valide pas l’utilisation de balles causant la fatalité d’un homme »,
at-il ajouté. Le corps du jeune pêcheur sera certainement requis aux ressources Dakar pour un examen post-mortem, y compris Gueye, demandant le calme. Un précédent accord de pêche entre le Sénégal et la Mauritanie n’a pas été restauré quand il a pris fin en 2016, après que la partie sénégalaise ait refusé un besoin mauritanien de débarquer du poisson capturé dans ses eaux en Mauritanie.
Les pêcheurs sénégalais, en particulier ceux de Saint-Louis, ont été attirés dans leurs zones de pêche à la surpêche. Les événements entre les garde-côtes mauritaniens et les embarcations de pêche à la ligne de Saint-Louis ont finalement été constants ces derniers temps.