Pour venir en aide aux personnes atteintes de dépression chronique, plusieurs remèdes ont été mis sur le marché par la médecine. De plus en plus de gens délaissent les traitements naturels pour se tourner aujourd’hui vers les antidépresseurs. Mais très peu sont conscients des dangers que représentent certains comprimés pour leur santé mentale. La prise de certains médicaments peut facilement multiplier les risques de suicide chez les malades. Quelles sont donc ces solutions à éviter pendant la cure ?
Pour guérir de la dépression chronique, il existe plusieurs traitements parmi lesquelles des solutions naturelles ou dans la majorité des cas, l’usage de médicaments antidépresseurs. Plongés dans un état d’anxiété ou submergés par le travail, certaines personnes prennent des comprimés dans l’espoir de sortir de leur déprime mentale. Mais le plus souvent, ces remèdes s’avèrent moins efficaces et représentent dans certains cas de réels dangers pour l’organisme du patient. Pour mesurer la dangerosité des médicaments prescrits aux malades atteints de déprime, des chercheurs se sont intéressés à quelques comprimés vendus sur le marché. A travers leurs recherches, ces scientifiques ont réussi à établir un lien entre des cas de suicides et la prise de certains médicaments. C’est un constat qui donne de quoi grincer les dents mais de nombreux remèdes de lutte contre la dépression chronique ont conduit les patients à se suicider, ce qui remet en cause l’efficacité de certaines solutions ? Avez-vous une idée de ces remèdes que l’on serait tenté de qualifier de suicidaire ? Quelle serait donc la solution idéale pour sortir définitivement de l’état de déprime ?
Faut-il revenir aux solutions naturelles pour soigner une dépression chronique ?
Bien sûr, car avec le recours aux médicaments, de nombreux patients ont oublié l’efficacité des bonnes vieilles méthodes naturelles qui permettaient d’en finir avec cet état d’anxiété. L’un des premiers remèdes contre la dépression chronique réside dans l’alimentation. Certaines personnes, les obèses en particulier, s’adonnent à toutes sortes de gourmandises, désespérées à l’idée de ne pas pouvoir perdre du poids. La nourriture devient alors un refuge pour ces personnes mais en même temps elle les entraîne loin dans la déprime mentale. Il faut donc contrôler son alimentation, c’est-à-dire manger sainement en évitant trop les aliments riches en matières grasses. Mais il ne suffit pas uniquement de veiller à une bonne alimentation, il faut aussi évacuer le trop de calories contenu dans notre organisme. Et quoi de plus normal que le sport pour perdre du poids ? Il y’a toute une variété d’activité sportive à laquelle vous pouvez vous adonner : la marche, le jogging, le yoda (pour une relaxation physique et psychologique) ou faire simplement le tour de notre quartier à vélo.
Le Safran est-il un remède conseillé dans la lutte contre la déprime ?
Le Safran fait partie de ces plantes que l’on qualifie de miraculeuse, tant elle a démontré à maintes reprises son efficacité contre certaines maladies. Cette plante fait partie des traitements naturels conseillés aux patients qui font une dépression chronique, mais seulement dans les cas de déprime légère. S’il s’agit d’un patient atteint de déprime avancée, le recours au Safran comme solution naturelle efficace n’a pas encore été totalement certifiée par tous les scientifiques.
Les antidépresseurs sont-ils dangereux pour les patients ?
Pour permettre à certaines personnes de retrouver une humeur, la médecine moderne a mis en place certaines solutions connues sous le nom d’antidépresseurs. Ce sont des comprimés qui, une fois pris par le patient, l’aident progressivement à retrouver sa bonne humeur. Mais de récentes études ont mis en cause l’efficacité de ces traitements, allant même jusqu’à affirmer qu’il y’aurait des médicaments contre la dépression chronique qui accentuent le risque de suicide chez le malade. C’est le ministère Santé Canada qui a attiré l’attention sur l’usage de certains médicaments dangereux, en l’occurrence sur les antidépresseurs de type IRNS et ISRS. Selon le ministère canadien, ces types de médicaments doivent être vivement déconseillés aux enfants qui font une dépression car ils multiplient les probabilités de suicide chez l’adolescent.