Avoir les cheveux longs et sublimes est devenue aujourd’hui une préoccupation majeure pour beaucoup de jeunes femmes, plus précisément pour celles qui sont dans la fleur de l’âge. Pour se faire une beauté, certaines vont jusqu’à augmenter le volume dont la nature les a dotées grâce aux mèches artificiels vendus sur le marché. Mais le recours à une telle pratique n’est pas sans risques pour le cuir chevelure, raison de plus pour se demander s’il ne serait pas nécessaire de retourner aux anciennes méthodes et pratiques.
La femme africaine à l’ère du rallongement artificiel
De nos jours, toutes les femmes africaines rêvent d’avoir des cheveux longs et sublimes. Nombreuses sont celles qui se plaignent de l’état médiocre de leur chevelure. N’ayant pas été privilégiées par la nature, elles ont depuis des générations envié leurs femmes de l’Occident pour la finesse, la brillance et la longueur de leurs boucles. Toutefois, le monde étant en perpétuelle évolution, plusieurs entreprises ont fait leur apparition avec des produits rendant les cheveux crépus plus lisses et plus longs. Les femmes africaines, étant plutôt intéressées, se sont aussitôt lancées dans le défrisage des cheveux sans pour autant réfléchir aux conséquences qu’entraineraient à long terme l’utilisation de ces composés chimiques. C’était le vrai miracle jusqu’à ce que, bien plus vite que prévu, elles commencent à constater tout d’abord la fragilité de plus en plus persistante de leur chevelure qui aboutira par la suite à la perte précoce de celle-ci. Oui, cette maladie appelée alopécie ou encore calvitie a commencé à faire des ravages dans la société africaine.
Des tissages pour avoir les cheveux longs et sublimes
En dépit de tous ces ennuis, une nouvelle tendance sera lancée sur le marché africain : la fixation de mèches et de tissages. Sous prétexte d’avoir moins d’effets nuisibles, les femmes vont en raffoler et en faire une habitude. Au début, elles ne voyaient que des avantages ; en plus de les rendre belles et coquettes, les mèches qui étaient en réalité des tresses permettaient, selon elles, la pousse des cheveux. En plus maintenant, pour effet de mode, les jeunes filles « branchées » rivalisent désormais de coiffures extravagantes de tout genre et de toutes couleurs dans leurs différentes tresses. Et tout cela dans quel but ? Voilà que nous constatons malgré nous un progrès plus que spectaculaire dans l’avancement de la calvitie chez nos jeunes africaines. Elles ont littéralement perdu leurs ce dont précieux que la nature les avoir offert et leur cuir chevelu n’est plus en mesure de leur fournir un quelconque espoir suite à l’utilisation abusive à la fois des produits défrisants et des mèches. Comment y remédier maintenant que le mal est déjà fait ? Pourquoi ne pas revenir aux anciennes méthodes utilisées par nos grands-mères ?
Le recours aux anciennes pratiques pour remédier à la dégradation du cuir chevelure
Pour la plupart des îles africaines, remarquez que la qualité des cheveux féminins est plus satisfaisante que celle du continent. Pour la simple raison que ces femmes ont découvert un certain nombre de secrets permettant de renforcer la chevelure, d’augmenter les longueurs et d’améliorer la beauté de leur crinière. L’un de ces secrets parmi tant d’autres n’est ni plus ni moins que ce fruit exotique aux mille et une vertus : le coco. En effet, le coco, en plus d’être à la fois une nourriture et une boisson désaltérante, est un véritable remède contre assez de maladies. Mais ce n’est pas tout, ce fruit regorge aussi d’un talent très prisé et recherché par les africaines ; il permet la pousse rapide de la chevelure et en même temps leur garantit un éclat épatant, une allure soigneuse, une brillance sans pareil et aucun effet secondaire. Aussi, associé à d’autres plantes naturelles telles que l’aloe vera, il a un effet thérapeutique sur le cuir chevelure ; il guérit l’alopécie et permet une pousse progressive des cheveux au niveau des parties atteintes à condition d’un traitement rigoureux et constant. Donc, quoi de plus indiqué que de revenir à nos vieilles méthodes pour traiter ce léger incident survenu au fil du temps, utiliser rarement les produits défrisants tout en privilégiant les tresses naturelles sans les mèches.
À cause des filles qui ont mis mèche 500.000fr avant fin de carême que la lune s’est cachée.
— The African (@l_africaine) 4 juillet 2016
Ne dit-on pas que l’abus de toute chose nuit ? Alors mesdames !! Vous voilà au point pour un nouveau départ. Une chevelure éclatante, c’est aussi possible pour vous, amazones africaines. Juste un peu d’attention, un peu de sacrifice et un soupçon de patience et vous voilà près à booster vos journées de confiance, d’éclat et de bonne humeur rien qu’avec un rêve réalisé : des cheveux souples, lisses, soigneux, éclatants de bonheur, longs, sublimes, qui feront de vous un modèle de réussite pour vos sœurs.
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