Décédé le mardi dernier au Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Bouaké (Centre-Nord) à la suite d’une longue maladie, le journaliste ivoirien Jean Alexis Adjé du quotidien de service public Fraternité Matin a été inhumé, samedi, au cimetière municipal de ladite ville (379 km au Nord d’Abidjan), a constaté APA sur place.
Agé de 50 ans, Jean Alexis Adjé a été inhumé en présence d’une forte délégation de son groupe de presse et de nombreux journalistes, parents et amis.
‘’Jean Alexis va passer aujourd’hui de l’autre côté de la rive. Jean va passer du côté de Dieu là où il n’y a plus de douleur, là où il n’y a plus de funérailles, plus de souffrance, plus de maladie’’, a déclaré en la mémoire du défunt, lors de la célébration eucharistique à la cathédrale Sainte Thérèse de l’enfant Jésus de Bouaké, le père David Allah.
De la cathédrale de Bouaké le cortège funèbre a marqué une courte pause au domicile familiale du défunt au quartier Air-France 1 (Sud de la ville) avant de s’ébranler vers le cimetière municipal, où repose désormais l’âme de celui qui a passé 24 ans de sa vie au service de la recherche de l’information.
Le groupe Fraternité Matin était représenté à ces obsèques par Soromane Coulibaly (Directeur des ressources humaines), Moussa Touré (Directeur de la rédaction), Emmanuel Kouassi (Chef du service région) ainsi que par le chef du service économie et le doyen Youssouf Sylla, ex-patron de l’agence de Fraternité Matin Bouaké.
Jean Alexis Adjé a rejoint l’agence de Fraternité Matin Bouaké depuis 1992 où il officiait en tant que correspondant pigiste. Après 24 ans passés au service de la recherche et du traitement de l’information, M. Adjé a définitivement rangé sa plume le mardi dernier, laissant derrière lui une compagne, une fille et des confrères inconsolables.
Source: CK/ls/APA