[PARODIE] Maintenant les adultes s’y sont mis et demandent leur « Bonne année » aussi. Ils sont fatigués des vœux qui ne se réalisent jamais. Au moins l’argent on le voit et on en fait quelque chose. Cependant tout le monde ne demande pas l’argent comme « Bonne année ».
Arafat DJ est rentré dans la danse, lui qui demande son « Bonne année » à la chanteuse Bamba Amy Sarah. Celle-ci est embarrassée par la nature du « Bonne année ». Ce n’est plus en espèce, mais en nature. Que les temps ont changé, remarque-t-elle. Malheureusement elle est mariée à présent et ne peut plus se permettre de faire un tel « Bonne année ». Malgré cela Arafat persiste on dirait un enfant qui dit à son papa :
« Papa tu fais combine. Je t’ai vu tu as donné l’argent à tous les enfants du quartier. Donc moi aussi je veux mon « Bonne année » en bri. »
La belle et le bad boy, c’est comme…

Arafat DJ serait allé trouver Bamba Amy Sarah, au lendemain du nouvel an, pour lui réclamer son « Bonne année ». Il a débarqué avec toute la Yorogang de la destruction, et à la fenêtre de la Belle, il a crié : « Bamba Amy sort ici, je veux mon Un Coup » (Je veux mon moment intime avec toi). Il n’est pas là pour chanter une sérénade toute pourrie. Pour ne pas réveiller son mari qui dormait, elle est descendue de l’immeuble, dare-dare.
Pris la main dans le sac

Le mari l’homme Saga, qui dormait, a entendu tout ce raffut. Arafat DJ criait trop on dirait quelqu’un qui venait d’une virée nocturne. Il criait comme un enfant :
« Amy mon Un Coup, mon Un Coup, mon Coup… ». Celle-ci a beau lui dire de se taire, rien n’y fit.
Deux coqs dans la basse-cour

C’est maintenant les vraies choses vont commencer. Ça a pété pour le mari donc il est sorti de ses gongs. Malgré les insultes des partisans de la Yôrôgang, lui son cœur coupe pas. Il sort les crocs pour montrer qui est le propriétaire des lieux.
La loi du plus fort est toujours la meilleure

Comme Alpha Blondy a dit à Arafat de ne plus s’attaquer aux autres artistes, Arafat a eu occasion pour rendre utile ses heures sur les réseaux sociaux. Sa destruction a enfin une nouvelle cible qui s’ajoute à Sheney, l’homme du Ghetto. Désemparée, Bamba Amy Sarah est allée supplier Arafat DJ d’épargner son mari, l’homme Saga, de sa divine fureur. Le gars va « sciencer » (être clément) en vertu de leur passé.
« Montre comment tu dragues là, montre comment dragues eh »

Tout le monde a sa manière de draguer. Certains viennent avec des fleurs, certains font les V.I et d’autres les Swagg. On ne peut pas condamner le Berus Sama parce qu’il ne sait pas « kouman » (parler) comme un poète. Chacun son « bara » (travail) djo ! En tout cas Amy est dans pain comme Josey Priscille.