Les « brouteurs » en Côte d’Ivoire illustrent bien la réalité de la cybercriminalité, car ils extorquent régulièrement des victimes via des fraudes en ligne et autres manœuvres illicites. À un niveau mondial, le cybercrime inclut autant la fraude informatique que le cyberterrorisme, voire la cyberguerre lorsqu’un État s’implique activement dans ces attaques numériques pour déstabiliser un adversaire.